Les canons crachent la mort, le trapèze du pote de droite, de droite, vient de s’écrouler sur lui, un de moins pour nous aider, par contre aux prochaines élections il ne nous fera pas chier.
Mon trou tient le coup. J’ais choisi la bonne forme, j’ais toujours été doué.
Un rapide coup d’oiel et j’aperçois à gauche mon premier char, je lève mon RPG et appuis sur la détente, j’attends le bruit du projectile qui glisse dans le tube, la première fois à l’entrainement j’avais éclaté de rire parce que le glissement produisit un chatouillement dans mon oreille.
Les boches n’ont rien vue venir, tellement occupé à tirer sur les bourgeois sur la cime des collines. À 20 mètres, j’avais un bon angle, juste au dessous du canon, à cet endroit le blindage est moins épais, le char n’a pas sauté mais je sais que les gars à l’intérieur compte probablement leur membres, sauf le conducteur vue l’angle il ne peut plus compter.
Deuxième, troisième et quatrième, la ça commence sérieusement à se morpionner. Plus de munitions, je tends la main vers mon fusil, il était temps l’infanterie fait son apparition. Du fond de nos trous ceux qui ne sont pas partie en morceaux commencent à dégommer ceux qui veulent nous dégommer, ça finira mal pour quelqu’un.
Outch !! Mon casque vient de vivre une relation foudroyante avec une balle, ils se sont d’abord aperçus au loin, puis tombant immédiatement amoureux leur union n’aura duré qu’une fraction de seconde, abandonné, mon casque se retrouve défloré de par en par, un peut de sang coule qui prouve qu’il était vierge.
Putain qui faisait chaud, à cuire au soleil dans mon trou, pleint de nuage noir entrecoupé de ciel bleu, pas une goutte de pluie, de nouveau bien confortable dans mon trou. J’imagine me promener dans Tobrouk en appréciant l’odeur d’épice et la musique…je crois que je vais faire un petit roupillon.
Mon trou tient le coup. J’ais choisi la bonne forme, j’ais toujours été doué.
Un rapide coup d’oiel et j’aperçois à gauche mon premier char, je lève mon RPG et appuis sur la détente, j’attends le bruit du projectile qui glisse dans le tube, la première fois à l’entrainement j’avais éclaté de rire parce que le glissement produisit un chatouillement dans mon oreille.
Les boches n’ont rien vue venir, tellement occupé à tirer sur les bourgeois sur la cime des collines. À 20 mètres, j’avais un bon angle, juste au dessous du canon, à cet endroit le blindage est moins épais, le char n’a pas sauté mais je sais que les gars à l’intérieur compte probablement leur membres, sauf le conducteur vue l’angle il ne peut plus compter.
Deuxième, troisième et quatrième, la ça commence sérieusement à se morpionner. Plus de munitions, je tends la main vers mon fusil, il était temps l’infanterie fait son apparition. Du fond de nos trous ceux qui ne sont pas partie en morceaux commencent à dégommer ceux qui veulent nous dégommer, ça finira mal pour quelqu’un.
Outch !! Mon casque vient de vivre une relation foudroyante avec une balle, ils se sont d’abord aperçus au loin, puis tombant immédiatement amoureux leur union n’aura duré qu’une fraction de seconde, abandonné, mon casque se retrouve défloré de par en par, un peut de sang coule qui prouve qu’il était vierge.
Putain qui faisait chaud, à cuire au soleil dans mon trou, pleint de nuage noir entrecoupé de ciel bleu, pas une goutte de pluie, de nouveau bien confortable dans mon trou. J’imagine me promener dans Tobrouk en appréciant l’odeur d’épice et la musique…je crois que je vais faire un petit roupillon.
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