« À vous voir ainsi, ma belle délicate, les pieds dans la fange et les yeux tournés vaporeusement vers le ciel » (Baudelaire).
Je regarde son si joli visage, les étoiles brillent derrière la fenêtre de notre chambre nuptiale. Elle est tellement belle, l’orgasme l’ayant transformé en déesse de l’amour j’en reste figé. Elle me parle tranquillement à l’oreille en tenant les couvertes d’une main pour cacher ces magnifiques seins dans un dernier geste de pudeur.
Je vais maintenant accéder à ta demande mon amour et te raconter ma vie, mais s’il te plait ne m’arrête pas avant que j’ais terminé.
Ma mère est née dans la fange, comme toutes les femmes qui viennent de plusieurs générations de fangeux, elle était laide et déformé.
Je sais qu’il est de notoriété que les fangeux non pas de rêve n’y d’avenir, mais détrompe toi, ils en ont. Lorsqu’elle était adolescente du haut de sa maison situé au bas de la station spatiale elle s’installait sur le toi pour rêver à une autre vie en regardant le haut de ce cylindre ou vivent les vrai gens, ceux qui sont libre, ceux qui sont beau, ceux qui peuvent aller ailleurs.
Au début il n’y avait pas de haut et de bas sur ce cylindre creux, mais à la guerre des colonies il y eux beaucoup de déportés, de migration rapide, de prisonniers et de déchet humain, tous ceux que peut engendrer une longue guerre. Ils furent tous entassé dans la section face à la terre, en attendant de pouvoir les reloger ailleurs, mais les années ont passé personne ne les voulait dans leur cours. Il a fallut construire des barrières puis des murs pour les empêcher de se répandre partout, finalement il a fallu couper toutes vois de communications, pour y entrer il faut maintenant passer par la « lumière » le seul couloir de sortie de la fange.
Tu sais probablement que les fangeux les mieux nanti vivent dans le bas de la fange, ou peut-être ne le sais tu pas, la plupart d’entre vous oubliez la fange comme vous oubliez les choses de votre quotidien qui ne vous plaisent pas, un simple réflex de votre cerveau et «Pouf » il n’y a plus rien.
Les fangeux les moins nanti vivent dans le haut des immeubles, à cet endroit ils reçoivent une partie des déchets du haut de la station, à cause de la gravité artificielle les objets lancés ou échappés par paresse, habitude ou plaisir retombent lentement vers le bas sur le toi des immeuble fangeux.
Ma mère montait souvent sur le toi, très peut de gens le faisait voulant éviter d’être souillé d’avantage. Il lui arrivait souvent de se masturber jambe écartés imaginant faire l’amour à un « haut ».
Un jour pendant une de ces séances elle reçu une pluie de sperme, de celle-ci naquit une fille. Elle était si jolie qu’il fut possible pour ma mère et sa famille, enfin, d’arriver au bas de l’échelle. Ils gagnèrent bien leur vie en organisant des expositions, il y avait plusieurs prix, pour regarder, toucher ou profiter.
Durant mes temps libre je prenais plaisir à parcourir la fange, je devais me couvrir le corps de bandelettes très à la mode chez les fangeux les plus horribles que l’ont appelait les Bandées, cela me permettait de me fondre avec eux. Une de ces excursions me mena aux abords de la « lumière » ou était organisé par Mère128 (128ième clones de Mère Térésa (voir annexe 1)), une distribution gratuite et quotidienne de Morphéïne, c’était une drogue normalement très cher qui procurait l’oublie de soi pour un certain temps, mais que pouvait se permettre 128 avec la richesse engrangé par ces « prédécessoeurs ». En échange les fangeux devait prêter allégeance à leur dieu, en donnant du sang ou des organes.
C’était la première fois que je voyais en vrai des gens du haut. Tous si beau, hommes ou femmes, ils étaient comme moi. C’est alors que me vint une idée, une fixation, quitter la fange. Un jour je dis à ma mère combien je l’aimais puis sans qu’elle le chasse la quittait pour toujours. Je m’étais fabriqué un habit de Nonne Noir, noir moulant à cagoule avec une petite tache rouge sur le dos. Elles étaient chargées de la sécurité des convois de
Morphéïne.
Quand enfin j’atteins le bout du tunnel je me fondis dans la foule qui s’ouvrait devant moi. Je parcouru la station pendant 3 jours avant de tombé de sommeil. J’y vue des choses impensable. Des gens se baignaient dans des lacs sous cloche, de l’eau, tellement d’eau, plus que j’avais du en boire durant toute ma vie. Des gens avec le sourire, se parlaient en toute tranquillité sans se retourner constamment de peur d’être battu ou assassiné. Quand la faim me pris je compris trop tard que tout n’était qu’illusion.
Comme dans la fange, pour vivre, il fallait payer, pour payer il fallait travailler, pour travailler il fallait avoir étudié, ou posséder un talent, bien sûr je possédais des talents, j’étais capable de faire perdre la tête aux hommes ou aux femmes. Du moins je le croyais cela fonctionnait bien pour moi dans la fange mais ici, il me fut plus difficile de gagner ma pitance. Je fis connaissance avec vos lois hypocrites, pour vendre mon corps je devais avoir fait au minimum une maîtrise à l’université, 5 ans d’études, je les avais ces 5 ans + 13 autre, ma carrière avait débuté à la naissance. Mais sans papier je devais vendre mon corps aux abrutis, aux violents, aux pervers.
Je fis connaissance avec votre justice, 6 mois de recentrage social pour avoir pratiqué sans éducation. Ce n’était pas ma faute si son cœur était fragile, attaché comme j’étais, je ne pus me sauver, quand les 6 policiers arrivèrent chacun en profita pour me visiter, puis au tour des 2 docteurs, 3 enquêteurs, la légiste, mon avocat et celui du système, le juge, les 12 jurys, les 4 gardiens, le prêtre et mon réhabilitateur social. Pour effacer leur crime ils me forcèrent à retrouver une parfaite virginité, physique et sociale en réécrivant ma vie, je pourrais nier, leur vérité était inscrite dans le grand livre. Tu peux comprendre ma haine envers votre société, même la fange n’est pas aussi cruelle.
À ma sortie j’étais une femme nouvelle, je possédais maintenant un diplôme en accompagnatrice d’ascenseur, 6 mois à presser mon doigt sur les boutons en répétant, « par mon travail je sers la collectivité, par mon travail je suis la collectivité, par mon travail je maintiens la collectivité ». Cette « thérapie » me permis d’entrevoir l’avenir différemment, mon parcourt en ascenseur m’amenait à chaque fois vers le haut du haut, la porte s’ouvrait sur le paradis des mieux nantis.
C’est la que tu m’as remarqué, j’étais jeune, 19 ans réel, j’étais réservé, ma nouvelle personnalité ta prise au piège, lorsque tu m’as attiré dans tes appartements je savais très bien que tu me convoitais. Du haut de tes 36 ans, avec un corps de 20 grâce au miracle de la médecine moderne, que vous ne partagez pas. Après les premiers ébats, quand tu as constaté que j’étais vierge tu venais de trouver la femme de ta vie. Fallait-il que tu sois aveugle pour te laisser prendre par si piètre attribut.
Pour répondre aux codes de ta famille tu as décidé de m’épouser, pour la première fois de ta vie tu as respecté quelqu’un, pas de sexe avant le mariage, rencontre à l’Église après une retraite de 3 jours. Ton père, qui a physiquement ton âge, t’a accompagné jusqu’au prêtre, de mon coté se trouvais un père de location pour faire bonne figure auprès de tes invités. Tu as changé ton testament pour permettre à ta future famille de ne jamais connaître les affres de la pauvreté.
Non ne dis rien, tu sais maintenant d’où je viens, nous avons fait l’amour ce soir, avec mon expérience je t’ais fait atteindre des sommets inégalés. Grace à ton scanner je peux déjà te dire que nous aurons des jumeaux, une fille et un garçon, qu’elle dommage pour eux de ne pouvoir connaître leur père. Et oui je suis désolé de te l’apprendre mais la paralysie qui t’empêche de m’interrompre, à été causé par ton orgasme et un poison extrait d’une petite plante. Ton cœur aura flanché, comme je serai attaché au lit avec ma petite culotte comme bâillon, je ne pourrai avoir appelé au secours, je t’aurai vue mourir d’orgasme, ta famille sera triste mais elle aura des petits enfants pour se consoler et une magnifique femme pour prendre la tête de tes entreprises.
Je regarde son si joli visage, les étoiles brillent derrière la fenêtre de notre chambre nuptiale. Elle est tellement belle, mon orgasme l’ayant transformé en déesse de la mort, j’en reste figé. Elle me parle tranquillement à l’oreille complètement nue, elle m’embrasse une dernière fois et me ferme les yeux des ces si jolie doigts dans un dernier geste de pudeur. Avant que mon cerveau ne cesse de fonctionner je repense aux soirs de mon adolescence ou je me masturbais sur le toi de la maison, en éjaculant une pluie d’étoile en direction de la fange.
Je regarde son si joli visage, les étoiles brillent derrière la fenêtre de notre chambre nuptiale. Elle est tellement belle, l’orgasme l’ayant transformé en déesse de l’amour j’en reste figé. Elle me parle tranquillement à l’oreille en tenant les couvertes d’une main pour cacher ces magnifiques seins dans un dernier geste de pudeur.
Je vais maintenant accéder à ta demande mon amour et te raconter ma vie, mais s’il te plait ne m’arrête pas avant que j’ais terminé.
Ma mère est née dans la fange, comme toutes les femmes qui viennent de plusieurs générations de fangeux, elle était laide et déformé.
Je sais qu’il est de notoriété que les fangeux non pas de rêve n’y d’avenir, mais détrompe toi, ils en ont. Lorsqu’elle était adolescente du haut de sa maison situé au bas de la station spatiale elle s’installait sur le toi pour rêver à une autre vie en regardant le haut de ce cylindre ou vivent les vrai gens, ceux qui sont libre, ceux qui sont beau, ceux qui peuvent aller ailleurs.
Au début il n’y avait pas de haut et de bas sur ce cylindre creux, mais à la guerre des colonies il y eux beaucoup de déportés, de migration rapide, de prisonniers et de déchet humain, tous ceux que peut engendrer une longue guerre. Ils furent tous entassé dans la section face à la terre, en attendant de pouvoir les reloger ailleurs, mais les années ont passé personne ne les voulait dans leur cours. Il a fallut construire des barrières puis des murs pour les empêcher de se répandre partout, finalement il a fallu couper toutes vois de communications, pour y entrer il faut maintenant passer par la « lumière » le seul couloir de sortie de la fange.
Tu sais probablement que les fangeux les mieux nanti vivent dans le bas de la fange, ou peut-être ne le sais tu pas, la plupart d’entre vous oubliez la fange comme vous oubliez les choses de votre quotidien qui ne vous plaisent pas, un simple réflex de votre cerveau et «Pouf » il n’y a plus rien.
Les fangeux les moins nanti vivent dans le haut des immeubles, à cet endroit ils reçoivent une partie des déchets du haut de la station, à cause de la gravité artificielle les objets lancés ou échappés par paresse, habitude ou plaisir retombent lentement vers le bas sur le toi des immeuble fangeux.
Ma mère montait souvent sur le toi, très peut de gens le faisait voulant éviter d’être souillé d’avantage. Il lui arrivait souvent de se masturber jambe écartés imaginant faire l’amour à un « haut ».
Un jour pendant une de ces séances elle reçu une pluie de sperme, de celle-ci naquit une fille. Elle était si jolie qu’il fut possible pour ma mère et sa famille, enfin, d’arriver au bas de l’échelle. Ils gagnèrent bien leur vie en organisant des expositions, il y avait plusieurs prix, pour regarder, toucher ou profiter.
Durant mes temps libre je prenais plaisir à parcourir la fange, je devais me couvrir le corps de bandelettes très à la mode chez les fangeux les plus horribles que l’ont appelait les Bandées, cela me permettait de me fondre avec eux. Une de ces excursions me mena aux abords de la « lumière » ou était organisé par Mère128 (128ième clones de Mère Térésa (voir annexe 1)), une distribution gratuite et quotidienne de Morphéïne, c’était une drogue normalement très cher qui procurait l’oublie de soi pour un certain temps, mais que pouvait se permettre 128 avec la richesse engrangé par ces « prédécessoeurs ». En échange les fangeux devait prêter allégeance à leur dieu, en donnant du sang ou des organes.
C’était la première fois que je voyais en vrai des gens du haut. Tous si beau, hommes ou femmes, ils étaient comme moi. C’est alors que me vint une idée, une fixation, quitter la fange. Un jour je dis à ma mère combien je l’aimais puis sans qu’elle le chasse la quittait pour toujours. Je m’étais fabriqué un habit de Nonne Noir, noir moulant à cagoule avec une petite tache rouge sur le dos. Elles étaient chargées de la sécurité des convois de
Morphéïne.
Quand enfin j’atteins le bout du tunnel je me fondis dans la foule qui s’ouvrait devant moi. Je parcouru la station pendant 3 jours avant de tombé de sommeil. J’y vue des choses impensable. Des gens se baignaient dans des lacs sous cloche, de l’eau, tellement d’eau, plus que j’avais du en boire durant toute ma vie. Des gens avec le sourire, se parlaient en toute tranquillité sans se retourner constamment de peur d’être battu ou assassiné. Quand la faim me pris je compris trop tard que tout n’était qu’illusion.
Comme dans la fange, pour vivre, il fallait payer, pour payer il fallait travailler, pour travailler il fallait avoir étudié, ou posséder un talent, bien sûr je possédais des talents, j’étais capable de faire perdre la tête aux hommes ou aux femmes. Du moins je le croyais cela fonctionnait bien pour moi dans la fange mais ici, il me fut plus difficile de gagner ma pitance. Je fis connaissance avec vos lois hypocrites, pour vendre mon corps je devais avoir fait au minimum une maîtrise à l’université, 5 ans d’études, je les avais ces 5 ans + 13 autre, ma carrière avait débuté à la naissance. Mais sans papier je devais vendre mon corps aux abrutis, aux violents, aux pervers.
Je fis connaissance avec votre justice, 6 mois de recentrage social pour avoir pratiqué sans éducation. Ce n’était pas ma faute si son cœur était fragile, attaché comme j’étais, je ne pus me sauver, quand les 6 policiers arrivèrent chacun en profita pour me visiter, puis au tour des 2 docteurs, 3 enquêteurs, la légiste, mon avocat et celui du système, le juge, les 12 jurys, les 4 gardiens, le prêtre et mon réhabilitateur social. Pour effacer leur crime ils me forcèrent à retrouver une parfaite virginité, physique et sociale en réécrivant ma vie, je pourrais nier, leur vérité était inscrite dans le grand livre. Tu peux comprendre ma haine envers votre société, même la fange n’est pas aussi cruelle.
À ma sortie j’étais une femme nouvelle, je possédais maintenant un diplôme en accompagnatrice d’ascenseur, 6 mois à presser mon doigt sur les boutons en répétant, « par mon travail je sers la collectivité, par mon travail je suis la collectivité, par mon travail je maintiens la collectivité ». Cette « thérapie » me permis d’entrevoir l’avenir différemment, mon parcourt en ascenseur m’amenait à chaque fois vers le haut du haut, la porte s’ouvrait sur le paradis des mieux nantis.
C’est la que tu m’as remarqué, j’étais jeune, 19 ans réel, j’étais réservé, ma nouvelle personnalité ta prise au piège, lorsque tu m’as attiré dans tes appartements je savais très bien que tu me convoitais. Du haut de tes 36 ans, avec un corps de 20 grâce au miracle de la médecine moderne, que vous ne partagez pas. Après les premiers ébats, quand tu as constaté que j’étais vierge tu venais de trouver la femme de ta vie. Fallait-il que tu sois aveugle pour te laisser prendre par si piètre attribut.
Pour répondre aux codes de ta famille tu as décidé de m’épouser, pour la première fois de ta vie tu as respecté quelqu’un, pas de sexe avant le mariage, rencontre à l’Église après une retraite de 3 jours. Ton père, qui a physiquement ton âge, t’a accompagné jusqu’au prêtre, de mon coté se trouvais un père de location pour faire bonne figure auprès de tes invités. Tu as changé ton testament pour permettre à ta future famille de ne jamais connaître les affres de la pauvreté.
Non ne dis rien, tu sais maintenant d’où je viens, nous avons fait l’amour ce soir, avec mon expérience je t’ais fait atteindre des sommets inégalés. Grace à ton scanner je peux déjà te dire que nous aurons des jumeaux, une fille et un garçon, qu’elle dommage pour eux de ne pouvoir connaître leur père. Et oui je suis désolé de te l’apprendre mais la paralysie qui t’empêche de m’interrompre, à été causé par ton orgasme et un poison extrait d’une petite plante. Ton cœur aura flanché, comme je serai attaché au lit avec ma petite culotte comme bâillon, je ne pourrai avoir appelé au secours, je t’aurai vue mourir d’orgasme, ta famille sera triste mais elle aura des petits enfants pour se consoler et une magnifique femme pour prendre la tête de tes entreprises.
Je regarde son si joli visage, les étoiles brillent derrière la fenêtre de notre chambre nuptiale. Elle est tellement belle, mon orgasme l’ayant transformé en déesse de la mort, j’en reste figé. Elle me parle tranquillement à l’oreille complètement nue, elle m’embrasse une dernière fois et me ferme les yeux des ces si jolie doigts dans un dernier geste de pudeur. Avant que mon cerveau ne cesse de fonctionner je repense aux soirs de mon adolescence ou je me masturbais sur le toi de la maison, en éjaculant une pluie d’étoile en direction de la fange.
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