C’est l’automne les feuilles sont rouge et jaune, elles tomberont bientôt pour ne laisser qu’une forêt d’arbre mort.
Plus tôt cet été un de mes amis que j’avais connu sur un tatami m’avait proposé de travailler comme gardien de sécurité pour la salle de cinéma de son père à Cannes durant le Festival. Même si l’idée d’être un gardien de quelque chose ne me plaisait guère j’ai tout de même accepté, c’était Cannes et le Festival…
Un soir mon ami m’a dit qu’il me faisait la fleur de ma vie en me proposant d’être le gardien privé de la loge 8. Un couple d’acteur qu’il n’a pas voulut nommer devaient assister à une projection.
Quel ne fut pas ma surprise de voir apparaître Monica et son compagnon, d’on le nom m’échappe toujours. Sur le coup j’ai eu du mal à la regarder, la gêne de me trouver en présence d’une déesse. Ils étaient « légèrement » amochés par l’alcool, il faut dire qu’à cette heure avancé de la nuit la plupart des invités du Festival étaient dans un état semblable.
Je les ais aidé à s’installer et leur ais commandé des « breuvages », mes yeux ont pu à ce moment s’en donner à cœur joie, mon cerveau essayait d’emmagasiné toutes ces images.
Sa robe se faisait surtout remarquer par son absence de tissu, décolleté des deux cotés, celui de devant n’éclipsant pas nécessairement celui de derrière, les hommes en général préfère la poitrine, mais moi j’adore autant le dos qu’en il est beau. Les épaules étaient dégagées, additionné au décolleté je pouvais m’imaginer étendu en missionnaire avec les mains dessous chaque épaule et sentir son abandon.
Les anches et les fesses me faisaient immédiatement rêver, à un soixante neuf classique, long et gouteux. Ceux qui se font par plaisir commun, en même temps ou en alternance, qui finissent en explosion de plaisir, qui nécessite un temps de récupération et qui provoque la plénitude.
Du coin ou je me trouvais je pouvais aussi apercevoir ces jambes, de belle cuisses et des mollets de rêve, qu’on ne peut s’empêché de caresser. Elle portait des scandales à lacets, attaché à la cheville et remontant le long du mollets.
Elle pourrait faire damner n’importe quel homme s’il devait la trouver nue, ces jambes écartées légèrement plier, ces cheveux bruns, son corps lumineux couché sur des draps blanc. Statistiquement parlant le 1/5 des hommes succomberaient à une crise cardiaque rien qu’en l’apercevant, un autre cinquième lorsqu’il se coucherait sur son corps, un autre cinquième à l’orgasme. Heureusement que les femmes ne sont pas toutes comme elle, sinon l’humanité courrait à ça perte.
Bon dieux qu’il y en a qui ont toutes les chances, fait chier, en plus le sale type ne s’intéressait même pas à elle, elle qui semblait pourtant vouloir lui prouver son amour. C’est à ce moment que la projection à commencé, un film romantique, j’ais bien cru que j’allais chialer comme une madeleine, seul dans mon coin avec mes pensées.
J’observais la scène pendant plusieurs minutes, elle semblait vraiment vouloir lui faire « plaisir », le fait que je me trouvais à quelques pieds d’eux ne semblait pas les gêner. Le mec c’est levé en titubant dans ma direction, en s’accrochant à mon bras il me demanda ou se trouvait les toilettes, il devait vomir, je lui ais indiqué et il disparu, juste au moment ou je me retournais elle s’accrocha à moi et m’appela par le prénom de son mec, «allé viens je vais te faire la pipe de ta vie », mon cerveau relativement moral venait de succombé, transformé en corps caverneux ont n’y entendais plus que l’éco de mon cœur et la phrase « je vais te faire la pipe de ta vie », pom-pom
pom-pom je vais te faire la pipe de ta vie, pom-pom, pom-pom je vais te faire la pipe de ta vie. Je me serais appelé comme elle veut pour simplement danser avec elle.
J’étais maintenant assis à la place de son mec, au dessous de ma chemise je me trouvais nu, mon cœur pointait vers les étoiles au plafond de la salle, mes yeux pointaient sur son jolie visage. Plus rien n’existait, trou noir.
Elle commença par les testicules, langue et bouche, doigts de fée.
Tout en maintenant ces yeux rivés aux miens.
Elle poursuivit son ascension.
Au sommet elle changea de position pour me prendre dans ça bouche, langue et bouche, doigts de fée.
Tout en maintenant ces yeux rivés aux miens.
Elle poursuivit ver le bas sa progression.
Elle, reproduit le mouvement d’une mer agitée, langue et bouche, doigts de fée.
Tout en maintenant ces yeux rivés aux miens.
Elle assouvit notre passion.
De mon courant il ne resta rien, langue et bouche, doigts de fée.
Tout en maintenant ces yeux rivés aux miens.
Elle enfuit ma pression.
Ça avait été long, ça avait été court ou ça avait été court, ça avait été long, je ne sais plus. Satisfaite elle se recala dans son siège pour cuvé l’alcool, notre plaisir et le film, comme un zombie je retournais à mon poste. Son mec revint des toilettes puant les égouts. À la fin de la projection ils se levèrent pour sortir, arrivé à ma hauteur elle me regarda en passant sa langue sur ça bouche, était-ce mon imagination, mon désir ou avait-elle encore soif, je ne saurai jamais.
De retour dans l’avion je fus pris d’une grande déprime, similaire à celle que j’avais lorsque j’étais gamin, quand nous allions au cinéma voir un film plus grand que moi, je me sentais si insignifiant, si inutile.
Le même sentiment qui m’habite depuis 5 mois, ce n’est pas la culpabilité. Pendant quelques minutes j’ais tenu dans mes mains la plus belle femme de la planète, j’ais totalement communier avec elle. Plus jamais je ne connaitrai pareil plaisir. Ho ! Je sais bien, quelques une diront « mais je peux te faire connaître de comparables sommets », c’est possible si on parle de sexe, mais jamais je ne connaitrai de pareil sommet avec la plus belle femme de la création.
Bon ce n’est pas tout mais je dois vous quitter, je dois faire mon tour dans la forêt. Quand toutes les feuilles seront tombées, il sera possible de voir la forêt d’arbre morts, à l’une des branches je serai pendu, ma dernière pensé aura été, comme dit la plèbe de mon pays, « si j’aurais su, j’aurais pas venu ».
Plus tôt cet été un de mes amis que j’avais connu sur un tatami m’avait proposé de travailler comme gardien de sécurité pour la salle de cinéma de son père à Cannes durant le Festival. Même si l’idée d’être un gardien de quelque chose ne me plaisait guère j’ai tout de même accepté, c’était Cannes et le Festival…
Un soir mon ami m’a dit qu’il me faisait la fleur de ma vie en me proposant d’être le gardien privé de la loge 8. Un couple d’acteur qu’il n’a pas voulut nommer devaient assister à une projection.
Quel ne fut pas ma surprise de voir apparaître Monica et son compagnon, d’on le nom m’échappe toujours. Sur le coup j’ai eu du mal à la regarder, la gêne de me trouver en présence d’une déesse. Ils étaient « légèrement » amochés par l’alcool, il faut dire qu’à cette heure avancé de la nuit la plupart des invités du Festival étaient dans un état semblable.
Je les ais aidé à s’installer et leur ais commandé des « breuvages », mes yeux ont pu à ce moment s’en donner à cœur joie, mon cerveau essayait d’emmagasiné toutes ces images.
Sa robe se faisait surtout remarquer par son absence de tissu, décolleté des deux cotés, celui de devant n’éclipsant pas nécessairement celui de derrière, les hommes en général préfère la poitrine, mais moi j’adore autant le dos qu’en il est beau. Les épaules étaient dégagées, additionné au décolleté je pouvais m’imaginer étendu en missionnaire avec les mains dessous chaque épaule et sentir son abandon.
Les anches et les fesses me faisaient immédiatement rêver, à un soixante neuf classique, long et gouteux. Ceux qui se font par plaisir commun, en même temps ou en alternance, qui finissent en explosion de plaisir, qui nécessite un temps de récupération et qui provoque la plénitude.
Du coin ou je me trouvais je pouvais aussi apercevoir ces jambes, de belle cuisses et des mollets de rêve, qu’on ne peut s’empêché de caresser. Elle portait des scandales à lacets, attaché à la cheville et remontant le long du mollets.
Elle pourrait faire damner n’importe quel homme s’il devait la trouver nue, ces jambes écartées légèrement plier, ces cheveux bruns, son corps lumineux couché sur des draps blanc. Statistiquement parlant le 1/5 des hommes succomberaient à une crise cardiaque rien qu’en l’apercevant, un autre cinquième lorsqu’il se coucherait sur son corps, un autre cinquième à l’orgasme. Heureusement que les femmes ne sont pas toutes comme elle, sinon l’humanité courrait à ça perte.
Bon dieux qu’il y en a qui ont toutes les chances, fait chier, en plus le sale type ne s’intéressait même pas à elle, elle qui semblait pourtant vouloir lui prouver son amour. C’est à ce moment que la projection à commencé, un film romantique, j’ais bien cru que j’allais chialer comme une madeleine, seul dans mon coin avec mes pensées.
J’observais la scène pendant plusieurs minutes, elle semblait vraiment vouloir lui faire « plaisir », le fait que je me trouvais à quelques pieds d’eux ne semblait pas les gêner. Le mec c’est levé en titubant dans ma direction, en s’accrochant à mon bras il me demanda ou se trouvait les toilettes, il devait vomir, je lui ais indiqué et il disparu, juste au moment ou je me retournais elle s’accrocha à moi et m’appela par le prénom de son mec, «allé viens je vais te faire la pipe de ta vie », mon cerveau relativement moral venait de succombé, transformé en corps caverneux ont n’y entendais plus que l’éco de mon cœur et la phrase « je vais te faire la pipe de ta vie », pom-pom
pom-pom je vais te faire la pipe de ta vie, pom-pom, pom-pom je vais te faire la pipe de ta vie. Je me serais appelé comme elle veut pour simplement danser avec elle.
J’étais maintenant assis à la place de son mec, au dessous de ma chemise je me trouvais nu, mon cœur pointait vers les étoiles au plafond de la salle, mes yeux pointaient sur son jolie visage. Plus rien n’existait, trou noir.
Elle commença par les testicules, langue et bouche, doigts de fée.
Tout en maintenant ces yeux rivés aux miens.
Elle poursuivit son ascension.
Au sommet elle changea de position pour me prendre dans ça bouche, langue et bouche, doigts de fée.
Tout en maintenant ces yeux rivés aux miens.
Elle poursuivit ver le bas sa progression.
Elle, reproduit le mouvement d’une mer agitée, langue et bouche, doigts de fée.
Tout en maintenant ces yeux rivés aux miens.
Elle assouvit notre passion.
De mon courant il ne resta rien, langue et bouche, doigts de fée.
Tout en maintenant ces yeux rivés aux miens.
Elle enfuit ma pression.
Ça avait été long, ça avait été court ou ça avait été court, ça avait été long, je ne sais plus. Satisfaite elle se recala dans son siège pour cuvé l’alcool, notre plaisir et le film, comme un zombie je retournais à mon poste. Son mec revint des toilettes puant les égouts. À la fin de la projection ils se levèrent pour sortir, arrivé à ma hauteur elle me regarda en passant sa langue sur ça bouche, était-ce mon imagination, mon désir ou avait-elle encore soif, je ne saurai jamais.
De retour dans l’avion je fus pris d’une grande déprime, similaire à celle que j’avais lorsque j’étais gamin, quand nous allions au cinéma voir un film plus grand que moi, je me sentais si insignifiant, si inutile.
Le même sentiment qui m’habite depuis 5 mois, ce n’est pas la culpabilité. Pendant quelques minutes j’ais tenu dans mes mains la plus belle femme de la planète, j’ais totalement communier avec elle. Plus jamais je ne connaitrai pareil plaisir. Ho ! Je sais bien, quelques une diront « mais je peux te faire connaître de comparables sommets », c’est possible si on parle de sexe, mais jamais je ne connaitrai de pareil sommet avec la plus belle femme de la création.
Bon ce n’est pas tout mais je dois vous quitter, je dois faire mon tour dans la forêt. Quand toutes les feuilles seront tombées, il sera possible de voir la forêt d’arbre morts, à l’une des branches je serai pendu, ma dernière pensé aura été, comme dit la plèbe de mon pays, « si j’aurais su, j’aurais pas venu ».
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