Je suis pas mal occupé avec les rushs de Festival de cet été. Voici quelques une de mes meilleures découvertes des dernières années.
Xavier Rudd, que j’ai vu en concert double avec Harry Manx, ce jour la j’ai découvert les deux, un concert inoubliable.
http://www.youtube.com/watch?v=lfR3gkkZ9Po
http://www.youtube.com/watch?v=N3VoLcdKX54
Harry Manx un canadien de l’ouest qui fait un blues vibrant.
http://www.youtube.com/watch?v=rbjk7DK5yb4
http://www.youtube.com/watch?v=RfCpO8wQ2Bo
Orlando Cachaito Lopez, le contrebasiste de Buena Social Vista Club, son album intitulé « Orlando Cachaito Lopez » est un des meilleurs que j’ai entendu dans ma vie. Malheureusement pour vous Youtube n’a pas de vidéo de lui seul et son album est très différent du Buena vista social club, beaucoup plus moderne.
http://www.youtube.com/watch?v=whs1FAkPbTM
Wednesday, May 30, 2007
Friday, May 25, 2007
Cal-Earth
À une certaine époque je voulais tout laisser tomber pour me partir une fromagerie, maintenant j’ai très envi d’aller faire un stage à Cal-Earth apprendre à construire ces magnifiques maisons qui ne coutent que sueur et environ 15 000 $ CA.
Ensuite apprendre aux autres comment faire.
Allez voir ce site c’est totalement génial.
http://www.calearth.org/
Ensuite apprendre aux autres comment faire.
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http://www.calearth.org/
Wednesday, May 23, 2007
Bye Bye Qwébek
Il n’est plus utile d’être bilingue dans l’armée Canadienne…
Le gouvernement Harper suspend le comité des langues officielles…
La parti Égalité renait de ces cendres…
Vous allez comprendre les jeunes et les déjanté pourquoi il ne faut jamais baisser les bras.
Le gouvernement Harper suspend le comité des langues officielles…
La parti Égalité renait de ces cendres…
Vous allez comprendre les jeunes et les déjanté pourquoi il ne faut jamais baisser les bras.
Friday, May 18, 2007
Ze moumoune
Depuis la naissance de petit petit homme (affectueusement appelé No2) il y a 5 mois je dors avec petit homme presque 4 ans. J’ai adoré l’expérience. Nous avons chacun notre lit de chaque coté de la pièce, le soir après que maman lui ait lu deux histoires, c’est l’heure du dodo.
Il vient me voir dans le salon ou je m’occupe d’endormir No2, nous échangeons les becs d’affections du dodo, il me dit toujours, « Regarde un petit peux la télévision, mais va pas jouer à l’ordinateur sinon c’est trop long » et il retourne en courant dans ça chambre. Des fois il me demande de me coucher en même temps que lui, ce que je refuse rarement.
Nos dodos se passent souvent chacun dans notre lit, j’attends qu’il dorme le couvre avec ces couvertes et descend à la cave jusqu’à minuit. Des fois il veut venir dans mon lit et s’endormir prêt de moi, il se pointe avec ces couvertes son toutou de nuit qui à fait irruption dans son quotidien il y a 1 mois, il tourne pas mal avant de s’endormir, des fois nous nous collons le visage l’un sur l’autre et rions à la lueur de la veilleuse, ouvrant nos yeux à tour de rôle et essayant d’être le dernier à les ouvrir. Quand il dort je le prends tendrement dans mes bras pour le coucher dans son lit.
Tous les soirs où je ne m’endors pas avec lui, lorsque j’entre pour dormir à mon tour. Je le couvre de ces couvertes, m’accroupis et le regarde longuement, je l’aime mon petit homme.
Le matin souvent il monte dans mon lit avec toutou et couverte et me réveil, je lui demande s’il veut dormir avec moi et il me répond toujours oui, après avoir joué à la crêpe quelques minutes ça fini toujours par « Je veux du jus », nous parlons un petit peux il me sourit, ensuite c’est « Je veux voir des bonhommes ».
Bientôt quand No2 fera ces nuits, nous échangerons nos places, je serai heureux de retourner dormir avec blonde, mais en même temps j’éprouve de la tristesse à la fin d’un très beau moment père fils.
Tiens, là, je verse une larme…sti que chu moumoune.
Il vient me voir dans le salon ou je m’occupe d’endormir No2, nous échangeons les becs d’affections du dodo, il me dit toujours, « Regarde un petit peux la télévision, mais va pas jouer à l’ordinateur sinon c’est trop long » et il retourne en courant dans ça chambre. Des fois il me demande de me coucher en même temps que lui, ce que je refuse rarement.
Nos dodos se passent souvent chacun dans notre lit, j’attends qu’il dorme le couvre avec ces couvertes et descend à la cave jusqu’à minuit. Des fois il veut venir dans mon lit et s’endormir prêt de moi, il se pointe avec ces couvertes son toutou de nuit qui à fait irruption dans son quotidien il y a 1 mois, il tourne pas mal avant de s’endormir, des fois nous nous collons le visage l’un sur l’autre et rions à la lueur de la veilleuse, ouvrant nos yeux à tour de rôle et essayant d’être le dernier à les ouvrir. Quand il dort je le prends tendrement dans mes bras pour le coucher dans son lit.
Tous les soirs où je ne m’endors pas avec lui, lorsque j’entre pour dormir à mon tour. Je le couvre de ces couvertes, m’accroupis et le regarde longuement, je l’aime mon petit homme.
Le matin souvent il monte dans mon lit avec toutou et couverte et me réveil, je lui demande s’il veut dormir avec moi et il me répond toujours oui, après avoir joué à la crêpe quelques minutes ça fini toujours par « Je veux du jus », nous parlons un petit peux il me sourit, ensuite c’est « Je veux voir des bonhommes ».
Bientôt quand No2 fera ces nuits, nous échangerons nos places, je serai heureux de retourner dormir avec blonde, mais en même temps j’éprouve de la tristesse à la fin d’un très beau moment père fils.
Tiens, là, je verse une larme…sti que chu moumoune.
Wednesday, May 16, 2007
Les têtes à claques, poursuite.
J’ai visionné le clip des têtes à claques et je dois le dire je suis frustrer de ce clip tellement que moi aussi je vais les poursuivre pour 50 000 $, je pense même à un retour collectif possible pour tous les québécois de souche pour 50 $ millions, je connais des avocats et la chose est possible.
Ce clip est visionné par tous les gens de langues française à travers le monde, ça en fait du monde qui vont avoir l’impression que nous sommes encore de gros arriérés qui ne savent pas vivres.
Non mais quel cousin de langue française voudra encore de nous a sa table si nous crachons dans leur soupe et quel manque de savoir vivre que de pisser dans la marmite, nous passons pour des dégénérés des consanguins mal dégrossis.
Ha je suis tellement frustré que j’m’e peux pu. Joignez-vous à moi dans ma brillante quête d’égalité.
Ce clip est visionné par tous les gens de langues française à travers le monde, ça en fait du monde qui vont avoir l’impression que nous sommes encore de gros arriérés qui ne savent pas vivres.
Non mais quel cousin de langue française voudra encore de nous a sa table si nous crachons dans leur soupe et quel manque de savoir vivre que de pisser dans la marmite, nous passons pour des dégénérés des consanguins mal dégrossis.
Ha je suis tellement frustré que j’m’e peux pu. Joignez-vous à moi dans ma brillante quête d’égalité.
Tuesday, May 15, 2007
Exit le Zorgon
Le drame est survenu soudainement, personne ne l’avait vu venir, l’alerte à retenti à 20 h 50.
Petit homme est dans le bain depuis 20 minutes, il a terminé, soudainement un grand cri retenti, comme chaque parent nous identifions immédiatement un pleur de panique infini.
Blonde arrive avant moi sur les lieux du drame, elle tient dans ces bras petit homme tout nu qui tremble, il a le visage déformé par la peur, il pointe le bain, mais il est incapable de s’exprimer, après quelques minutes entre deux soubresauts, il fini par dire Zorgon sob, parti sob, dans le trou sob.
Pause, les Zorgons sont une race de méchant extraterrestre dans Zatura un film de SciFi pour enfant. Il y a un an et demi, quand grand-maman lui avait donné un jeu de K’nex, je lui avais expliqué que les petits joints bleu de 30 mm étaient des Zorgons, depuis ce temps, chaque fois qu’il joue avec ce jouet il anime les Zorgons grâce à ceux-ci.
Quand il a tiré le bouchon et que le bain c’est complètement vidé, un Zorgon à réussi à s’échapper, déclencheur de la grosse panique, vu le principe scientifique de « tout ce qui passe par la disparaît à jamais ».
Il était dans ça chambre inconsolable, blonde le serrait très fort, rien à faire. J’ai trouvé discrètement un autre Zorgon, je suis retourné dans la salle de bain, je l’ai mouillé et suis retourné le voir en le lui donnant, j’avais sauvé le Zorgon, la panique à passé, il m’a demandé comment j’avais fais, je lui ai expliqué que je l’avais rattrapé avec une petite pince, mais que je ne pourrais pas toujours récupérer les choses qui passe par là.
Je ne sais pas pendant combien de temps il va regarder avant de tirer le bouchon, j’espère que sa durera. En me couchant j’ai eu une pensée pour le Zorgons qui était en train de visiter les égouts de Montréal, pauvre petit Zorgon.
Petit homme est dans le bain depuis 20 minutes, il a terminé, soudainement un grand cri retenti, comme chaque parent nous identifions immédiatement un pleur de panique infini.
Blonde arrive avant moi sur les lieux du drame, elle tient dans ces bras petit homme tout nu qui tremble, il a le visage déformé par la peur, il pointe le bain, mais il est incapable de s’exprimer, après quelques minutes entre deux soubresauts, il fini par dire Zorgon sob, parti sob, dans le trou sob.
Pause, les Zorgons sont une race de méchant extraterrestre dans Zatura un film de SciFi pour enfant. Il y a un an et demi, quand grand-maman lui avait donné un jeu de K’nex, je lui avais expliqué que les petits joints bleu de 30 mm étaient des Zorgons, depuis ce temps, chaque fois qu’il joue avec ce jouet il anime les Zorgons grâce à ceux-ci.
Quand il a tiré le bouchon et que le bain c’est complètement vidé, un Zorgon à réussi à s’échapper, déclencheur de la grosse panique, vu le principe scientifique de « tout ce qui passe par la disparaît à jamais ».
Il était dans ça chambre inconsolable, blonde le serrait très fort, rien à faire. J’ai trouvé discrètement un autre Zorgon, je suis retourné dans la salle de bain, je l’ai mouillé et suis retourné le voir en le lui donnant, j’avais sauvé le Zorgon, la panique à passé, il m’a demandé comment j’avais fais, je lui ai expliqué que je l’avais rattrapé avec une petite pince, mais que je ne pourrais pas toujours récupérer les choses qui passe par là.
Je ne sais pas pendant combien de temps il va regarder avant de tirer le bouchon, j’espère que sa durera. En me couchant j’ai eu une pensée pour le Zorgons qui était en train de visiter les égouts de Montréal, pauvre petit Zorgon.
Friday, May 11, 2007
Les zéros
J’ai un vieux pote que je ne vois plus maintenant. Je l’ai connu au secondaire, c’était un type sympa, un bon sens de l’humour, il trippait sur les mêmes choses que moi c’était un très bon ami.
Quelques années plus tard quand nous étions au Cégep le mec c’est tapé une méga dépression pour une affaire de triangle amoureux plutôt pas marrante. Il a décidé qu’à partir de ce jour il n’aurait plus jamais de peine d’amour, ça fait plus de 20 ans de ça et il n’a jamais plus eux de blonde steady.
Je le voyais moins souvent, il avait de nouveaux amis Hot Hot Hot, ça ne m’a pas trop attristé parce que je savais que dans la vie nous perdons de vues certains amis, des fois nous nous retrouvons au cours de celle-ci des fois non. Un jour il y a 17 ans il m’a appelé, nous avons discuté de toutes sortes de choses, surtout sur le sens de ça vie, il venait de prendre une décision un de ces nouveaux amis lui avait expliqué que s’il voulait réussir dans la vie il devait éliminer les zéros de ça vie, j’ai bien compris pour un ou deux chriss de paresseux que nous avions dans notre entourage, mais j’ai compris beaucoup plus tard que je faisais parti de ces zéros à éliminer.
Pendant 16 ans les seul fois ou je l’ai vue c’est dans des cafés par hasard, les seuls appels téléphoniques c’était des compagnies de recouvrement qui le cherchaient. Il avait chassé les zéros, mais il semble que sa situation ne se soit pas améliorée. Bien sur c’est un point de vue.
J’avais opté pour la réussite calme, une petite vie stable, une famille une maison etc, lui avait choisi, les jobines en attendant de devenir un grand producteur de spectacle, une fille différente toutes les semaines, les fuck friends, le party tous les jours.
L’an passé il est réapparu, ou je travaille, il était devenu « chum » avec un de mes patrons, il voulait pousser un groupe de musique, il était très contant de me voir il a fait un grand monologue ou il me racontait ces réalisations ces conquêtes, tout au long j’ai eu l’impression qu’il faisait un pitch (mot marketing pour vente ou présentation de projet), j’ai le sentiment qu’il ne s’intéressait à moi que parce que je faisait enfin partie de son monde celui des pas zéros, mais encore pire tout le long j’avais la très nette vision d’un gars seulement intéressé par ce que je pourrais lui apporter.
Il est bien loin le petit gars innocent et sympathique de notre enfance, je ne suis pas certain qu’avoir éliminé les zéros ai été une bonne idée.
Quelques années plus tard quand nous étions au Cégep le mec c’est tapé une méga dépression pour une affaire de triangle amoureux plutôt pas marrante. Il a décidé qu’à partir de ce jour il n’aurait plus jamais de peine d’amour, ça fait plus de 20 ans de ça et il n’a jamais plus eux de blonde steady.
Je le voyais moins souvent, il avait de nouveaux amis Hot Hot Hot, ça ne m’a pas trop attristé parce que je savais que dans la vie nous perdons de vues certains amis, des fois nous nous retrouvons au cours de celle-ci des fois non. Un jour il y a 17 ans il m’a appelé, nous avons discuté de toutes sortes de choses, surtout sur le sens de ça vie, il venait de prendre une décision un de ces nouveaux amis lui avait expliqué que s’il voulait réussir dans la vie il devait éliminer les zéros de ça vie, j’ai bien compris pour un ou deux chriss de paresseux que nous avions dans notre entourage, mais j’ai compris beaucoup plus tard que je faisais parti de ces zéros à éliminer.
Pendant 16 ans les seul fois ou je l’ai vue c’est dans des cafés par hasard, les seuls appels téléphoniques c’était des compagnies de recouvrement qui le cherchaient. Il avait chassé les zéros, mais il semble que sa situation ne se soit pas améliorée. Bien sur c’est un point de vue.
J’avais opté pour la réussite calme, une petite vie stable, une famille une maison etc, lui avait choisi, les jobines en attendant de devenir un grand producteur de spectacle, une fille différente toutes les semaines, les fuck friends, le party tous les jours.
L’an passé il est réapparu, ou je travaille, il était devenu « chum » avec un de mes patrons, il voulait pousser un groupe de musique, il était très contant de me voir il a fait un grand monologue ou il me racontait ces réalisations ces conquêtes, tout au long j’ai eu l’impression qu’il faisait un pitch (mot marketing pour vente ou présentation de projet), j’ai le sentiment qu’il ne s’intéressait à moi que parce que je faisait enfin partie de son monde celui des pas zéros, mais encore pire tout le long j’avais la très nette vision d’un gars seulement intéressé par ce que je pourrais lui apporter.
Il est bien loin le petit gars innocent et sympathique de notre enfance, je ne suis pas certain qu’avoir éliminé les zéros ai été une bonne idée.
Wednesday, May 09, 2007
La tortue
Il y a fort fort longtemps sur une piste cyclable, je roulais à vive allure, j’aperçois au loin une chaise roulante qui roule dans ma voie, arrivé à sa hauteur je ralenti et lui lance baveux, on fait une course la tortue ?
L’homme dans son fauteuil, la cinquantaine, me regarde et répond, va te faire enculer pti con !
Je démarre en trombe en me trouvant très drôle, j’étais jeune…et con.
Arrivé au coin de la rue à vive allure et n’ayant pas l’intention de faire mon stop j’aperçois sortant de nulle part une petite veille avec une canne, je tente de l’éviter je perds la contrôle et m’écrase contre une auto, je poursuis ma chute sur un poteau de protection des cyclistes pour finir la tête sur le trottoir de ciment.
Premier constat, j’ai mal, très mal, deuxième constat je ne suis plus capable de bouger, paralysie temporaire, c’est revenu une heure plus tard.
La petite veille profite du fait que je ne puisse plus bouger pour me frapper avec sa canne, sale petit morveux tu feras plus attention la prochaine fois, me dit-elle. À ce moment précis je me voyais lui faire avaler sa canne.
Quelque minutes plus tard la tortue et son fauteuil s’arrête prêt de moi, l’homme me dit, on fait une course l’escargot ? L’enfoiré me crache dessus et passe son chemin en riant.
Les ambulanciers sont arrivés 10 minutes plus tard, j’étais pas mal amoché. Après une nuit et plusieurs examens ils m’ont laissé repartir.
J’ai compris la leçon.
Depuis ce jour j’ai toujours une clé à molette en bandoulière de ma bicyclette.
Un jour mon homme je te retrouverais et d’un coup de clé à molette bien placé entre les deux yeux j’éclaterais la tête de la tortue, faut pas gonfler Gérard Lambert quand il est paralysé sur le trottoir.
J’aime bien la morale de cette histoire, pas vous à bon.
L’homme dans son fauteuil, la cinquantaine, me regarde et répond, va te faire enculer pti con !
Je démarre en trombe en me trouvant très drôle, j’étais jeune…et con.
Arrivé au coin de la rue à vive allure et n’ayant pas l’intention de faire mon stop j’aperçois sortant de nulle part une petite veille avec une canne, je tente de l’éviter je perds la contrôle et m’écrase contre une auto, je poursuis ma chute sur un poteau de protection des cyclistes pour finir la tête sur le trottoir de ciment.
Premier constat, j’ai mal, très mal, deuxième constat je ne suis plus capable de bouger, paralysie temporaire, c’est revenu une heure plus tard.
La petite veille profite du fait que je ne puisse plus bouger pour me frapper avec sa canne, sale petit morveux tu feras plus attention la prochaine fois, me dit-elle. À ce moment précis je me voyais lui faire avaler sa canne.
Quelque minutes plus tard la tortue et son fauteuil s’arrête prêt de moi, l’homme me dit, on fait une course l’escargot ? L’enfoiré me crache dessus et passe son chemin en riant.
Les ambulanciers sont arrivés 10 minutes plus tard, j’étais pas mal amoché. Après une nuit et plusieurs examens ils m’ont laissé repartir.
J’ai compris la leçon.
Depuis ce jour j’ai toujours une clé à molette en bandoulière de ma bicyclette.
Un jour mon homme je te retrouverais et d’un coup de clé à molette bien placé entre les deux yeux j’éclaterais la tête de la tortue, faut pas gonfler Gérard Lambert quand il est paralysé sur le trottoir.
J’aime bien la morale de cette histoire, pas vous à bon.
Friday, May 04, 2007
Bye Bye JF
Aujourd’hui c’est le dernier jour de travail d’un vieux potes de bureau, ça fait 6 ans qu’il travaille avec nous, pas le même département mais presque, 6 ans dans une grosse boite de pub ou nous avons l’impression des fois d’être au front.
La première fois que je l’ai vue il collait des petits collants pour cacher une erreur de numéro de téléphone sur 10 000 cartes postales, dans un bureau « réject », c’est le genre de job poche que nous donnons aux nouveaux venus, il a passé le test, il n’a pas craqué.
Après comme il ne savait pas quoi en faire ils l’ont placé dans le bureau de mon équipe, à 4 dans un bureau de 6x10, il c’est avéré un mec bien sympathique avec un bon sens de l’humour et un maitre du sarcasme, ça été une très bonne année.
Les années on passé j’ai vue l’évolution d’un gars qui voulait apprendre, un très grand travailleur, le genre de gars sur qui il est possible de compter dans les pires moments, bref un frère d’arme. J’ai suivit ces bon coups, les moins bon, les jours de grande joie et les jours ou il en avait marre. Je l’ai vue suivre sensiblement le même parcours que le mien, au travail et dans la vie.
Finalement il a eu une proposition du tonnerre, le genre qui ne se refuse pas.
Tu va me manquer.
La première fois que je l’ai vue il collait des petits collants pour cacher une erreur de numéro de téléphone sur 10 000 cartes postales, dans un bureau « réject », c’est le genre de job poche que nous donnons aux nouveaux venus, il a passé le test, il n’a pas craqué.
Après comme il ne savait pas quoi en faire ils l’ont placé dans le bureau de mon équipe, à 4 dans un bureau de 6x10, il c’est avéré un mec bien sympathique avec un bon sens de l’humour et un maitre du sarcasme, ça été une très bonne année.
Les années on passé j’ai vue l’évolution d’un gars qui voulait apprendre, un très grand travailleur, le genre de gars sur qui il est possible de compter dans les pires moments, bref un frère d’arme. J’ai suivit ces bon coups, les moins bon, les jours de grande joie et les jours ou il en avait marre. Je l’ai vue suivre sensiblement le même parcours que le mien, au travail et dans la vie.
Finalement il a eu une proposition du tonnerre, le genre qui ne se refuse pas.
Tu va me manquer.
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